22 octobre 2006
Parfois je mets des « e » à la fin des participes passé. Parfois pas.
En fait tout a raté. Si je suis mort c’est que j’ai
glissé et puis voilà ! Je me suis noyé.
Personne ne m’a vu, j’ai coulé. Je suis devenu tout
vert et tout gonflé et puis je me suis réveillée.
Voilà, il suffit de mourir et
tout s’arrange.
A peine le dos tourné que
hop ! plus de sexe ! Envolé.
Là j’ai compris qu’il y avait
quelque chose que j’allais adorer ici.
Parfois je mets des « e » à la fin des participes
passé. Parfois pas.
Le plus bel événement de mon
existence.
Je fus un homme, un garçon, un
humain masculin. J’avais 17 ans ?
Aujourd’hui je ne suis rien.
Rien de rien.
Et je n’ai pas plus que je ne
suis.
Partant, tout est possible.
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